La Villa De L’Alpha – Partie 2

Je décidais de passer le reste de la journée au bord de la piscine. Il faisait particulièrement chaud et cela me semblait aussi une bonne idée pour me vider l’esprit. Une idée partagée par certains visiblement. Dans la piscine, une rousse aux cheveux courts (et aux seins généreux) enchainait les longueurs. De l’autre côté, près du jacuzzi extérieur (oui il y en avait un aussi à l’intérieur), deux hommes échangeaient avec une belle femme longiligne aux cheveux châtains, tous trois allongés sur des transats côte à côte. Ma femme, elle, venait de s’installer sur le sien. Elle retira son t-shirt qu’elle avait pour seul vêtement et opta pour un bronzage intégral. Comme me l’avait suggéré Hélène, ma femme adorait effectivement ses vacances. Assis au bord de la piscine, les jambes dans l’eau, je passais en revue les présents dont je ne connaissais pas encore les noms. L’un des deux gars, un blond d’une trentaine d’année je dirais, s’appelait Matt je crois mais le chauve à la barbe de 3 semaines qui lui faisait de la concurrence, impossible de me rappeler son nom hormis qu’il avait des vues hier soir sur cette rousse qui me jetait un œil à chaque fois qu’elle venait barboter près de moi. Je m’abandonnais quelques instants à regarder son joli postérieur fendre l’eau. Derrière moi, quelques gémissements m’indiquaient que les deux apollons étaient en train de passer à l’étape suivante avec leur partenaire. La rousse l’avait elle aussi remarqué et captant mon regard, m’adressa un clin d’œil équivoque. Elle se mit à nager sur le dos me laissant profiter d’une belle vue sur ses seins dressés. Après quelques instants d’abandon, je jetais un œil vers ma femme que je retrouvais en compagnie d’un autre bellâtre. Elancé, une dense pilosité et une longue chevelure poivre et sel, il s’était installé juste à côté d’elle pour amorcer la discussion. Je cherchais dans ma mémoire sa place dans le banquet d’hier soir. Il était aux côtés, me semblait-il, d’une quarantenaire à l’allure raffinée voir un peu guindée.

Nulle trace d’elle autour de la piscine. Les gémissements dans mon dos prenaient de plus en plus d’ampleur au fur et à mesure. Je me retournais pour assouvir ma curiosité qui ne fût pas déçue. Le dénommé Matt savourait une belle fellation que lui administrait la demoiselle qu’il avait visiblement décidé de se partager avec le chauve. Ce dernier, en effet, la prenait à califourchon sur lui. « Ils ne perdent pas de temps » pensai-je en me retournant pour constater que devant moi, le bellâtre n’avait pas perdu le sien également. Tétant avec avidité le sein droit de ma femme, il lui doigtait copieusement la chatte dans le même temps et elle semblait apprécier le traitement si je me fiais aux ondulations de son corps. Il remonta ses lèvres pour lui embrasser le cou puis s’emparer de sa bouche. Il redescendit ensuite langoureusement pour amener sa langue en renfort de ses doigts. Ma femme ne se fit pas prier pour s’offrir plus ouvertement en écartant ses cuisses et en passant ses mains dans les cheveux de son nouvel amant. Tandis qu’il lui bouffait littéralement la chatte, je fus surpris par l’irruption de la rousse sirène de la piscine entre mes jambes. « Ne t’inquiètes pas ! » me lança-t’elle tout en me caressant l’intérieur des cuisses. « Ils la veulent tous maintenant que le chef de meute l’a fécondé. Un truc de mecs. Ils vont lui tourner autour tant qu’elle aura les faveurs de Christian. Au début, ça fait bizarre mais on s’y fait tu verras. Elle s’amuse elle. Tu devrais en faire autant. » Je ne savais pas quoi lui répondre, n’arrivant pas à penser à autre chose que ma femme dans les bras d’un autre homme. Encore. Je la regardais, s’abandonnant à cet homme qu’elle ne connaissait pas et qui la possédait devant moi. Je repris mes esprits que lorsque je sentis une main dégageait mon sexe du maillot de bain. J’avais déjà une belle érection sans m’en être rendu compte. La rousse me branlait doucement tout en me regardant. « Eh ben ! T’es bien doté mon salaud ! Tu vas faire de la concurrence à Christian.
» Elle me prit en bouche et je ne boudais pas mon plaisir. Putain que c’était bon. Je n’avais pas baisé depuis plusieurs jours et j’avoue que cette rousse m’excitait au plus haut point. Elle alternait les mouvements langoureux et les gorges profondes à la perfection, me suçant la queue avec une avidité savoureuse. Le trio derrière moi était en pleine double-pénétration et j’avais une vue imprenable sur le séant de la demoiselle que deux queues besognaient avec entrain, ce qui à sa voix, lui plaisait grandement. Ma femme s’était retrouvé entretemps les jambes relevées au-dessus des épaules de son partenaire qui la baisait avec vigueur. Elle se faisait enfilée par une longue et ardente queue et moi, je me mordais la lèvre de plaisir avec cette belle rousse vissée à ma bite. « Tu es endurant ! » me lâcha-t’elle. « D’habitude, je dois avaler plus vite. » Je pensais qu’on n’avait pas le droit ? « Seulement dans nos vagins mais nos culs et nos bouches sont accessibles. » Elle sortit de l’eau pour venir m’embrasser avec passion puis elle me prit par la main pour que je la suive. Elle me guida jusqu’au transat le plus proche pour s’y installer à quatre pattes, cambrée implicitement. « Viens ! » m’intima-t’elle avec un regard. Je ne me faisais pas prier pour venir lui bouffer le cul, passant ma langue le long de sa raie, crachant sur sa rondelle. Je lui travaillais l’anus avec appétit. « Viens ! » me répéta-t’elle. Ma queue me faisait presque mal tellement je bandais. Elle s’en saisit pour venir la guider. Je l’enfilais sans aucune retenue constatant avec surprise que ma queue était littéralement aspirée. Elle avait l’habitude. Après mettre bien caler au fond de son cul, je me lâchais sur elle. La besognant comme un animal en rut, sentant sa poitrine qui ballotait à chacun de mes coups de rein, son corps qui ondulait pour accen ma pénétration, ses gémissements et ses appels à la prendre plus fort encore. Je perdais l’esprit quelques instants, n’étant plus qu’une bête assoiffée de sexe, en oubliant tout ce qui m’entourait y compris ma femme et son amant.
Tout ce qui m’importait, c’était de jouir et c’est ce que je finis par faire, à bout de souffle. Ma partenaire se retira pour venir prendre ma queue en bouche et récolter les dernières gouttes de sperme qui s’échappait encore de mon méat. Elle se régalait et moi je découvrais stupéfait que nous avions de la compagnie. « Eh bien ! Je vois que la piscine t’a mise en appétit ! » lança un homme, la trentaine, châtain et moustachu qui se tenait devant nous. Il me tendit la main alors que la rousse me suçait encore. « Damien ! » Je restais un instant muet avant de réagir et de lui saisir la main en réponse. « Marc ! » répondais-je. La rousse se releva. « J’en pouvais plus de t’attendre alors… » « Oui je vois ça ! » lui répondit-il. Je commençais à balbutier un début d’explication mais il me tapa sur l’épaule en me souriant. « Eh pas de soucis ! On est là pour s’amuser ! Et puis je sais que Christi ne se fait pas prier. » Elle se rapprocha de lui et commença à lui caresser l’entrejambe à travers son short. « Maintenant que tu es là, on peut peut-être passer à la suite ? Non ? » Je fis mine de les laisser mais Damien finit par me retenir par le bras. « Hé ! Je vais avoir besoin d’un coup de main ! » Je jetais un œil vers ma femme. Son amant était en train de se finir au-dessus d’elle et je ne ratais rien de la douche qu’elle prit sous les giclées blanches et généreuses du bellâtre. Elle semblait s’en délecter. « Comptez sur moi » lançai-je en réponse à Damien.

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